où l'on ne bat pas en retraite...

... Parce qu'hier Il a encore montré sa suffisance et son mépris.

Parce qu'hier, il m'a encore prouvé à quel point il est loin de son peuple... (mais alors vraiment loin !)

Parce que hier soir Il a affirmé qu'il ne changerait pas d'avis

(en même temps, il n'y a que les c... qui ne changent pas d'avis... cqfd.

Elle est facile, mais ça fait du bien, même si je dis "il" pour Celui dont on ne doit pas prononcer le nom trop près d'une insulte sous peine de se retrouver au poste),

Parce que j'ai le fol espoir que le soulèvement pourrait se faire là, dans pas longtemps,

Parce que je veux croire que cela va enfin être la goutte d'eau,

Parce que je trouve incroyable que nous ne réagissions pas plus que ça,

Je veux garder un oeil sur ce combat là, et être prête à descendre dans la rue, avec vous tous le 7 septembre !

N'hésitez pas à relayer le lien...

Je ne bats pas en retraite !

Comments

[cc]

A chacun de nos souffles
Au moindre murmure des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que d'un pavé de fortune
Contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi dire non (x2)

C'est un pincement de lèvres
Et la peur qui perle d'un front
La faune et la flore à cran en haillons
Et l'éclat de nos palpitants
Dans l'ombre du marteau pilon
A tout moment la rue peut aussi dire non (x2)

Non comme un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la nuit remue
Aux astres et aux Déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple rêve
A tout moment la rue peut aussi dire...

Et si quelques points noirs
En cols blancs poivrent nos cieux
D'ondes occultes en tubes longs et creux
A bien compter le monde
Est x fois plus nombreux
Que ces trois cent familles qui sur la rue ont pignon
A tout moment elle peut aussi dire non

Comme un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la nuit remue
Aux astres et aux Déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple rêve il aime
Disposer de lui même (x2)

Non comme un oui
Aux arbres chevelus
A toutes ces nuits qui nous lient
Et même si elles ont trop bu
C'est aux astres et aux Déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple crève
A tout moment la rue peut aussi dire...

A chacun de nos souffles
Au moindre murmure des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que d'un pavé de fortune
Contre le tintamarre du pognon

[bouma]

j'y serai. sans faute.

[Fred]

On y sera...

[ln]

depuis 2003, je ne suis pas très optimiste, mais relayons et mobilisons nous en effet !

[stephanie¨]

j'ai vu l'interview et j'ai ri...pour ne pas pleurer! Une caricature!
J'ai pensé aux bloggeuses engagees... mais aussi à ce qui se passe chez moi! Certains petits partis que j'encourage disent il faut areter le cirque... et pour leur campagne, mettent un nez rouge aux "Grands"...